Quand Votre Gynéco boit !

 
La scène que je vais vous conter n’est pas née de mon imagination, encore moins de mon imaginaire. Ma fifille (la maman de Janou Grain de sel) est allée voir un gynécologue à la mi Mai. Après une première échographie, ce médecin lui a confirmé qu’elle était enceinte et il lui a fixé un nouveau Rendez vous pour le Lundi 7 Juin 2010 en début d’après midi.
Si la première consultation s’est déroulée dans des conditions normales, il n’en fut pas de même de la seconde.
Il lui a demandé si elle sentait bouger l’enfant alors qu’elle  n’est enceinte que de 7 semaines.
Il lui a juste pris la tension, sans autre examen, et lui a demandé de revenir quand elle aurait l’échographie des 12 semaines, pratiquée par un spécialiste.
Elle lui a demandé la déclaration de grossesse.
A ce moment là, il s’est établi une conversation surréaliste.
« Vos dernières règles datant du 15 avril, vous allez le concevoir le 25 Juin, ça vous va le 25 Juin ? Et vous accoucherez en Février »
Réponse : «  je ne pourrai pas le concevoir le 25 Juin, puisque je suis déjà enceinte de 7 semaines au 7 Juin 2010. »
« Donc, vos dernière règles datent du 25 Avril (au lieu du 15) l’enfant est conçu début Mai, vous accoucherez en Février 2005 ». (Deux mille cinq !!!!!)
Monsieur le Docteur X lui a donc prescrit une échographie et des examens sanguins datés du 8 JUIN 2005 alors que nous étions, je le rappelle le 7 JUIN 2010.
De même pour la déclaration de Grossesse, avec un accouchement prévu en Février 2005.
Alteirac-100608 035.jpgMonsieur le Docteur X, ne lui paraissant pas dans un état normal, elle a préféré mettre un terme à cette consultation qui lui a coûté quand même la modique somme de 60 Euros pour finalement une simple prise de tension.
Ne désirant plus être suivie par lui, elle n’a pas pris la déclaration de grossesse (malheureusement), par contre elle a conservé les prescriptions d’échographie et d’examens sanguins, datées du 8 Juin 2005.
Imaginons (osons imaginer) que la patiente ait un problème grave, où bien, qu’à cet instant on appelle le Docteur X pour un accouchement difficile. Imaginons encore qu’aucune infirmière ou aucune sage-femme n’ose s’opposer à un acte thérapeutique pratiqué en urgence par ce monsieur, en cet état « altéré ». Imaginons …….



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